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BRAS - TEMPLIER

 BRACHIUM TEMPLARII 

Brachium Templarii est le titre original de ce livre, réédité et modifié pour éviter toute confusion avec une association locale amie nommée BRACHIUM TEMPLARII.

Le titre retenu fut donc la traduction du latin BRACHIUM TEMPLARII en :

 BRAS TEMPLIER 

avant d'être :

 « Domus Brachii »

Après MONFORT-TEMPLIER, et prochainement ASTROS-TEMPLIER, un livre de la même collection VAR-TEMPLIER :

 BRAS-TEMPLIER 

réédition corrigée et augmentée de la brochure Brachium-Templarii (17/01/2007)

Eridan d'Astor

 

  Bras-Templier, un livre inédit sur les activités et les possessions des Templiers de Bras dans le Var.

https://www.facebook.com/Bras-Templier-106317624152813/

https://www.facebook.com/groups/738934766517684/

 

BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER
BRAS - TEMPLIER

BRAS - TEMPLIER

La chapelle romane des templiers de BRAS

En 1220 un litige oppose le commandeur de Bras et le prieur de Bras qui s’oppose à la construction de la chapelle à la place de l'oratoire de la Commanderie.
L’évêque de Fréjus ordonne la célébration des baptêmes, mariages
et sépultures à l’église paroissiale.
La chapelle des Templiers est réservée aux membres de la commanderie et ne peut avoir plus de deux cloches.
La chapelle Notre-Dame de Bethléem est orientée et construite à l'angle SUD-EST des bâtiments (disparus, transformés) de la Commanderie adossés aux murs d'enceinte (disparus).

Ce schéma est conforme à l'architecture templière :

Les Commanderies Rurales
des Templiers
du Var en Provence

LE TRIANGLE SACRE DES TEMPLIERS

MONTFORT - ST-CHRISTOPHE > 6 KM

MONTFORT - BRAS < 14 KM

MONTFORT - MIRAVAL < 7 KM

BRAS - MIRAVAL > 7 KM

BRAS - ST-CHRISTOPHE <15 KM

ST-CHRISTOPHE - MIRAVAL > 9 KM

Le triangle rectangle sacré fait la liaison entre les chapelles des trois commanderies situées au cœur du Var. L'angle droit est placé sur la chapelle Saint-Blaise du château templier de Montfort-sur-Argens. La chapelle du hameau de Miraval (situé sur la commune de Correns) est située à mi-distance entre les chapelles des deux principales commanderies de Montfort et Bras ; cette distance est équivalente à celle vérifiée entre Montfort et Saint-Christophe. Il y a donc un triangle isocèle dont le sommet est Montfort, à l'intérieur du triangle rectangle.

Le triangle rectangle est conçu à l'intérieur d'un double carré, il s'agit donc d'un triangle des bâtisseurs parfait, c'est l’équerre des architectes de proportion 1 sur 2.

Vous trouverez cet article inédit à ce jour (17/01/2007 corrigé et modifié le 11/08/2020) dans le prochain livre en cours de rédaction : BRAS - TEMPLIER.

Vous saurez aussi pourquoi cette découverte est issue d'une ancienne légende qui semblerait contenir un message codé.

BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE
BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE
BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE
BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE
BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE
BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE

BRAS - MONTFORT - SAINT-CHRISTOPHE

Les gours


"Les étangs, souvent profonds, et les mares aux eaux croupissantes n'ont pas tellement bonne réputation dans le légendaire varois.

Mieux vaut ne pas trop s'en approcher, par prudence et pour échapper à des sortilèges toujours possibles. Les gours de Bras et bien d'autres étangs de notre région sont suspectés d'avoir une origine maléfique, sur un même thème que l'on retrouve un peu partout. Il s'agit d'une punition divine infligée soit à des villageois irrévérencieux ou licencieux, soit à des paysans mauvais chrétiens, inhospitaliers ou, surtout ne respectant pas la trêve de grandes célébrations comme la Sainte-Marie-Madeleine ou la Sainte-Anne où l'on doit cesser de travailler pour aller à l'église.

Un effondrement subit du village coupable ou une pluie diluvienne engloutissait ces mécréants au fond d'un gouffre ou d'un étang.

On y entend encore la nuit les cris des damnés et les hennissements des attelages maudits. Seule une procession expiatoire à date fixe, souvent le 24 avril pour la Saint-Marc, pouvait empêcher la colère de Dieu de se manifester à nouveau ou apaiser le courroux des saintes que l'on avait offensées.

On peut rattacher à ces légendes celles des iero prefundado de notre région, à Nans-les-Pins, Sainte-Maxime ou Évenos, dépressions circulaires naturelles où la croyance populaire voyait des aires à fouler le blé englouties pour punir des paysans sans religion."

FOLKLORE ET LÉGENDES DE L'EAU DANS LE VAR
Tony MARMOTTANS

Les gouffres bénis

"Où se trouvent les gouffres bénis … et pourquoi parle-t-on de gouffres bénis ?

Quelles légendes s'y rattachent ?

Ce sont actuellement des trous d'eau claire, mais on raconte que du temps où le village dépendait de l'ordre de Malte – ou bien des chevaliers du Temple – les habitants du village n'étaient pas tous bien pensants et qu'un lac se creusa soudain les engloutissant.

On sait que les terrains de cette région sont fragiles et sans doute a-t-on un jour, assisté à un effondrement spectaculaire. Mais on dit encore que lors du tremblement de terre de Lisbonne, en 1755, les eaux de ces gouffres se seraient teintées de rouge. Le séisme aurait-il été ressenti jusque là ?"

Maison du Temple de Bras

Les maisons de Saint Maurice, et de Ruou étaient liées entre elles, la commanderie de Bras devait dépendre de celle de Saint-Maurice de Régusse à sa création. Il existait certainement un accord de gestion entre ces trois commanderies.
En1232, le commandeur de Saint Maurice agit en tant que sous-commandeur de Bras, et en 1308, le commandeur de Bras est camérier de Saint Maurice.

La maison du Temple de Bras figure dans les actes à partir du 2 août 1220, à l'occasion d'un litige entre son commandeur Bernard, et le prieur local ; celui-ci s'opposait à ce que les frères de la milice fissent construire un oratoire à côté de leur établissement ; l'évêque de Fréjus intervint et fixa les conditions dans lesquelles le Temple pourrait avoir sa chapelle.

Nous ne savons rien de précis sur les origines de cette maison, la milice s'était établie certainement dans la localité dès le XIIe siècle. Foulque de Bras, fut en effet frère de l'Ordre et commandeur de la maison de Richerenches de 1175 à 1179. Il est certain qu'elle y avait acquis des biens importants avant 1220. Ce n'est cependant qu'après cette date qu'elle remembra à son profit la plus grande partie de la seigneurie, des fiefs et des autres tenures de la localité.
Après avoir dépendu, par intermittence, des commanderies de Ruou et de Saint-Maurice, la maison du Temple de Bras - à laquelle nous rattachons les possessions de l'Ordre à :
- Brue-Auriac
- Le Val:
- Châteauvert
- Brignoles (maison-annexe)
- Saint-Maximin
- La Roque (Brussane) (La Roquebrussanne devint, vers la fin du XIIIe siècle, un membre indépendant de la Préceptorie d'Aix.

Præceptores et Commandeurs

— G. Pellipar (Pelliparius) - 1221
— Bernard (Bernardus) - 1222
— Guillaume de Faugat (Guillelmus de Fangato) - 1226
— Guillaume de Mujolan (G. Mujolano, Mejulano) - 1253, 1255, 1266
— Isorn ou Isard (Isornus, Isardus) - 1258, 1262-1263, 1267, 1271, 1275, 1284
— Pierre de Casalis (Petrus de Cassalis) - 1274
— Geoffroi de Alanson (Gaufridus de Alanssono) - 1287
— Rostan Cornut (Rostagnus Cornutus) - 1294
— Raymond de Benoit (Raimundus Benedicti) - 1308
— Albert de Blacas (Albertus Blacacii)
— A la charge de cette maison, notamment en 1293 et 1298.
Fonds : Archives des Bouches du Rhône, H 2 44-46.

Maison du Temple de Bras

C'est peut-être à partir de la commanderie de Jalès, dont les bases sont précoces, que le frère Arnaut de Bedos a été dirigé dans la région de Saint-Paul-Trois-Châteaux, comme le laisserait croire l'itinéraire du frère Guilhem de Riallac ainsi que l'action de membres de la famille de Crussol. Quoi qu'il en soit, entre 1136 et 1138, ce frère pose les bases des commanderies du marquisat. C'est de là sans doute, et toujours avec l'appui du commandeur de Jalès, que sont lancées les missions vers la Basse-Provence qui président, autour de 1140, à la création des établissements de Saint-Gilles, puis d'Arles et de Montfrin. C'est enfin à partir de ces premiers points d'appui que l'ordre s'enfonce en Provence puisqu'il est mentionné dans le diocèse d'Aix dès 1143 et dans celui de Fréjus dès le milieu du siècle.

Dans le diocèse de Fréjus, l'ordre commence à réunir les terres qui constitueront la seigneurie de Ruou à partir de 1156. Le rayonnement se poursuit dans le diocèse voisin de Riez (Saint-Maurice de Régusse, à partir de 1164) et sur la côte vers la fin du siècle (Hyères, Bras, Nice). L'implantation dans le comté de Forcalquier s'effectue parallèlement dans le dernier quart du XIIe s. (Limaye, Sisteron, Lachau...). « J.-A. Durbec, « Les Templiers en Provence », p. 32-37, 97-112 et 123-124. »

Albert de Blacas commandeur d'Aix en 1286, devait par exemple cumuler dans les années 1280-1290, selon une chronologie et une alternance difficiles à démêler, la direction de quatre maisons : Bras, Ruou, Saint-Maurice et Aix.
Les granges et maisons castrales, qui demeuraient des centres d'habitat permanent, ne devaient être gérées que par un seul frère ou étaient laissées aux bons soins de la « familia. » Ce sont là des moyennes conformes à ce que l'on connaît ailleurs pour la France méridionale. En Provence orientale, les grosses maisons du Ruou et de Saint-Maurice comportent également une dizaine de frères, tandis que les autres sites (Hyères, Bras, Biot...) n'en comptent pas plus de trois.
Sources : Damien Carraz - l'Ordre du Temple dans la Basse Vallée du Rhône - 2005. Lyon

Seignerie du Temple de Bras

Les Templiers possédaient la seigneurie de Bras en paréage ; la portion des Templiers passa aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem; elle est encore aujourd'hui un membre considérable de l'ancienne Maison des Templiers de Marseille.
Sources : Description Historique, Géographique et Topographique des villes, bourgs, villages et hameaux de la Provence ancienne et moderne, du Comté Venaissin, de la Principauté d'Orange, du Comté de Nice, etc. Par M. Achard, Médecin de Marseille, Membre de plusieurs académies. Aix M. DCC. LXXXVII. Page 356.

Domus « Brachii »

Cette commanderie dépend de Saint-Maurice. En 1232, le commandeur de Saint-Maurice agit en tant que sous-commandeur de Bras, et en 1308, le commandeur de Bras est camérier de Saint-Maurice.
Il existait un accord entre les trois commanderies avec celle de Ruou.

Domus Templi Bras

« Domus haec ab antecedenti, ni fallor, pendebat. Etenim a. 1232, praeceptor Sancti Mauricii vices praeceptoris Brachii gerebat et, a. 1308, praeceptor Brachii erat camerarius domus Sancti Mauricii. »

Præceptores

G Pelliparius — 1221.
Bernardus — 1222.
Guillelmus de Fangato — 1236.
Guillelmus de Mujolano (Mejulano) — 1253, 1255, 1266.
Isarnus aut Isardus 1258, 1262-1263, 1267-1271, 1275, 1284.
Petrus de Gassalis — 1274.
Gaufridus de Alanssono — 1287.
Rostagnus Cornutus — 1294.
Raimundus Benedicti — 1308.
Albertus Blacacii hanc domum in ditione sua habebat (saltem a. 1293 et 1298).
Sources : Archives des Bouches du Rhône, H2 44-46

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