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Les racines Arméniennes de l’Ordre du Temple

Les racines Arméniennes de l’Ordre du Temple
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En Arménie, la découverte d'un squelette d'une guerrière relance le mythe des Amazones

Par Sébastien Rouet - Publié le 09/12/2019 à 19h39 - Mis à jour le 10/12/2019

© armennano

En 2017, des archéologues ont découvert une tombe contenant les restes d'une guerrière arménienne. Vieux de plus de 2000 ans, ces vestiges ont révélé différentes blessures de combat, relançant le mythe des Amazones.

Le 10 novembre 2019, la revue International Journal of Osteoarchaeology dévoilait les travaux d'un groupe de chercheurs arméniens à propos d'un squelette de la nécropole Bover I de la province de Lori, au nord de l'Arménie. Une première analyse a confirmé qu'il s'agissait d'une femme d'une vingtaine d'années. Les nombreux bijoux et autres objets de valeur qui accompagnaient sa sépulture suggéraient son haut statut social. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais c'est une autre analyse qui va amener les archéologues à découvrir que la jeune femme était aussi une guerrière.

En effet, les chercheurs ont analysé la musculature et les différentes blessures du squelette. Les attaches musculaires du haut du corps étaient très développées, notamment les muscles se travaillant avec un mouvement main/épaule. Cette constatation suggère que la personne était une archère. Les muscles fessiers étaient également très développés, ce qui pourrait faire dire cette fois-ci que cette guerrière pratiquait équitation.

Enfin, le squelette présentait de nombreuses fractures. Les chercheurs ont retrouvé une pointe de flèche métallique dans le fémur de la jeune femme. D'autres blessures provoquées par des armes ont été constatées sur l'os pelvien ou encore le tibia. Des éléments qui indiquent clairement l'activité de guerrière que pratiquait la jeune femme.


Le mythe des Amazones relancé

Ce squelette permet de davantage comprendre la place des femmes dans la société du royaume d'Urartu. Ce vaste ensemble s'étendait principalement sur les actuelles Turquie et Arménie, entre le IXe et le VIe siècle av. J.-C.. Un emplacement et une période qui a obligé ses habitants à s'adapter aux différents empires côtoyés et aux attaques auxquelles ils devaient faire face. L'ensemble de la société devait être mobilisé en cas de crise majeure. La population s'est fortement spécialisé dans le tir à l'arc à cheval, efficace dans la chasse mais aussi et surtout face à l'ennemi. Cela concernait aussi bien les garçons de 10 ans que les femmes.

Ce squelette récemment mis en lumière est le deuxième connu en Arménie. S'il confirme encore un peu plus l'existence de guerrière dans cette région, il relance aussi le débat sur l'inspiration du mythe grec des Amazones, ce peuple de femmes guerrières que les historiens situent dans le Caucase, dans la zone même de la sépulture…

GEO

Arménie : petite histoire de la grenade
 
Arménie : petite histoire de la grenade
© Pixabay 

Qu’on déambule sur le marché aux puces d’Erevan ou qu’on fasse le tour des étals de fruits et légumes de n’importe quelle bourgade d’Arménie, la grenade est partout.

Après tout, elle est l’emblème de ce petit pays du Caucase, indépendant depuis 1991. Les habitants prétendent même que ce fruit résume l’histoire et la géographie de leur nation : un peu austère à l’extérieur, mais si riche à l’intérieur ! Une croyance prétend aussi que chaque grenade contient 365 arilles exactement, une pour chaque jour de l’année. Les arilles, ce sont ces pépins entourés d’une pulpe écarlate, au jus plus ou moins acide mais toujours vivifiant, et bourré d’antioxydants. Cultivée depuis trois millénaires en Arménie, cette baie n’a pas qu’une fonction nutritive. Avec sa couleur sang, elle symbolise la prospérité, la fécondité, la longévité, bref, la vie. Pas un mariage n’est célébré sans que l’heureux couple ne lance une grenade contre un mur, pour que les grains du fruit éclaté bénissent sa descendance. Pas un Noël sans qu’elle soit au menu, pour que l’année s’ouvre sous le signe de la vitalité… Des superstitions qui puisent sans doute leur source dans les textes bibliques. Quand l’arche de Noé s’échoua sur les pentes du mont Ararat, qui culmine à 5 165 mètres non loin de la capitale arménienne, elle transportait, outre deux représentants de chaque espèce animale, quelques fruits, dont, bien sûr, la grenade. Et à en croire certains Arméniens, la savoureuse baie pourpre pourrait bien être la fameuse «pomme» qu’Eve a croquée dans le jardin d’Eden…

Ce fruit du paradis assure aussi une substantielle source de revenus aux paysans du sud. Notamment ceux de Nrnadzor, un village montagneux dont le nom signifie «vallée aux grenades». Les grenadiers, arbustes pouvant vivre jusqu’à deux siècles, s’y déploient à perte de vue. Avant la récolte automnale, leurs fleurs rouge vif constellent les coteaux. D’une qualité exceptionnelle, les fruits sont cueillis à la main. Les plus gros sont envoyés à la capitale, les plus petits servent à concocter un vin doux et sucré qui n’est pas sans rappeler le porto ou le xérès. A Nrnadzor, les agriculteurs sont parfois considérés comme des héros… car il leur faut composer avec les humeurs des ours ! Les plantigrades font régulièrement des razzias dans leurs vergers : humains ou animaux, tous en Arménie raffolent de la grenade.

Comment manger la grenade

Typique du Caucase et de l’Asie centrale, le grenadier est aujourd’hui cultivé dans le bassin méditerranéen, et jusqu’en Amérique, depuis que les conquistadors l’y ont importé. Les fruits que l’on trouve en France proviennent souvent d’Espagne ou d’Italie. Mais les déguster n’est pas si aisé. La bonne méthode consiste à d’abord couper la couronne de la grenade, ainsi que sa base. Puis à entailler sa peau verticalement, en traçant cinq quartiers, pour qu’elle s’ouvre facilement. Cette baie se savoure nature, mais elle peut aussi réveiller un bol de yaourt, apporter une note de fraîcheur à un tzatziki ou faire des miracles sur des huîtres… Et la mélasse de grenade, un sirop aigre-doux qu’on trouve dans les épiceries orientales, s’utilise comme du vinaigre balsamique.

GEO

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