https://groupe-var-media.over-blog.com/2021/02/decouverte-d-un-medicament-contre-le-coronavirus.html
à partager :
pour soutenir le Dr Henry Joseph qui va certainement être sévèrement attaqué par les industries pharmaceutiques et les médecins de plateaux télévisés.
En Guadeloupe : l'herbe à Pik, tombe à pic !
Depuis la nuit des temps, les guadeloupéens se soignent avec l'herbe à Pik. Le fait qu'un Docteur et son équipe locale se penchent sur son étude et ses principes de guérison pourraient sauver le Monde ! BRAVO ! Il faut encourager les initiatives locales à une époque ou tout est centralisé et excessivement réglementé par un gouvernement centralisé Parisien ; cette politique pyramidale a ses limites avec la deuxième grande puissance économique mondiale, celle de l'industrie pharmaceutique (juste après celle de l'industrie du pétrole dans le monde).
Moralité : "l'infiniment PETIT a ses raisons d'être"
Zèb a pik [zɛb a pik]
Français : Herbe a pique
Anglais : Jackass bitters
Les vertus de cette plante sont connues depuis très longtemps. Il y a plus 5000 ans, en Amérique Centrale, les Mayas l’utilisaient déjà pour faire face à la saison froide.
Elle est aujourd’hui utilisée en Guadeloupe, tout comme dans le reste de la Caraïbe et de l'Amérique du Sud :
Dominique : utilisée pour combattre certaines maladies de la peau. Appliquée localement contre les céphalées. De plus la décoction de la feuille serait anti-asthmatique.
Trinidad, Honduras, Costa Rica : remède pour le diabète.
Guatemala : l’herbe à pic est réputée soigner de nombreuses affections, telles la gastrite, la toux, la grippe, les infections cutanées, la fièvre jaune.
Le docteur Henry Joseph vient d'annoncer, à l'occasion du Forum de la Santé tenu à la Région ce 11 février 2021, que "l'herbe à pik", issue de la pharmacopée traditionnelle, a la capacité de contrer la reproduction des virus à ARN dans l'organisme.
Cette découverte fera date dans l'histoire scientifique locale et mondiale. Les laboratoires Phytobôkaz, au cours de leurs recherches, ont assemblé des résultats qui démontrent que des extraits de l'herbe à pic (Zèb a Pik), issue de la pharmacopée traditionnelle guadeloupéenne, avaient la capacité « d'inhiber la voie de biosynthèse de novo des pyrimidines, et notamment la quatrième enzyme de cette voie métabolique qui est la Dihydroorotate déshydrogénase (DHODH). Voie indispensable et obligatoire pour la réplication du virus a ARN. » En clair, l’herbe à pic aurait la capacité de rendre les cellules hôtes du virus hostiles à son développement et à sa reproduction.
Alors que les laboratoires mondiaux se sont intéressés au virus et ont dirigé leurs recherches vers "l’immunité acquise" notamment par le vaccin, les recherches des laboratoires guadeloupéens Phytobôkaz se sont concentrées sur les protections des cellules de l’organisme. En effet, pour prospérer, le virus a besoin d’une cellule à coloniser pour permettre sa reproduction anarchique dans le corps. C’est cela qui déclenche des alertes biologiques et rend l’individu malade. Phytobôkaz a donc cherché à savoir si, dans la biodiversité de la Guadeloupe, des plantes pourraient être capables de renforcer les cellules afin d'empêcher toute cohabitation du virus ; l’herbe à pic aurait la capacité de rendre les cellules hôtes du virus hostiles à son développement et à sa reproduction. Cette découverte est fondamentale pour réduire l'impact de tous les virus à ARN sur les populations (dengue, chikungunya, coronavirus, rougeole). Cette découverte a été menée en collaboration avec Damien Bissesar, jeune Guadeloupéen docteur en chimie et chercheur jusque là basé aux États-Unis.
Depuis la nuit des temps, les Antillais utilisaient la "Zèb a Pik" pour soigner de nombreuses maladies.
Enfin, des scientifiques guadeloupéens se sont penchés sur ses vertus médicinales efficaces contre de nombreuses infections.
Il se doit d'encourager vivement ses initiatives locales face à l'hégémonie d'un médecine gouvernementale centralisée, complaisante avec l'industrie pharmaceutique, motivée par les seuls bénéfices financiers.
article suivant :
"Notre devoir est d'aider Henri Joseph, peu importe nos origines et notre histoire, l'important est de préserver la diversité, les bonnes traditions et coutumes afin d'évoluer dans notre humanité ensemble.
Je ne connais pas Madagascar, pourtant je suis convaincu qu'il est nécessaire de préserver sa biodiversité et la culture ancestrale du peuple Malgache que j'aimerais rencontrer un jour dans ce beau pays.
Il existe une similitude avec les Antilles et l'Amérique du Sud, les paysages, les climats, mais surtout des peuples proches de la Nature Mère. La distance sépare ces hommes, pourtant, ils vont dans le même sens.
Chacun a trouvé son trésor dans la nature.
Avec amour et fraternité, chacun peu faire quelque chose à sa mesure, ces petites choses assemblées sont notre plus grande force.
Dans mon coin, comme chacun d'entre nous, j'ai décidé de parler d'Henri Joseph, de son œuvre, de son travail persévérant ; c'est ma façon de l'aider car je sais qu'il risque d'avoir maintenant des obstacles à surmonter : la très puissante industrie pharmaceutique et les docteurs de plateaux télévisés corrompus.
Pour gagner, il faut être positif :
- ignorer ce qui est mauvais ;
- encourager ce qui est bon.
Rassembler ce qui semble épars ..."
Le 18 mars 2021
Cette plante a des vertus, mais comme l’Artemisia annua (armoise annuelle), il y a des polémiques pour plusieurs raisons :
- la qualité et la posologie du produit adaptée,
- le manque d'études sur l'utilisation ancestrale des herbes,
- l'interdiction de ces traitements en occident pour des raisons confuses,
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Cependant ces herbes médicinales sont utilisées par la population depuis des centaines d'années en Amérique du Sud, En Asie et en Afrique pour traiter toutes sortes d'infections sans connaitre leur propriétés.
Le problème, est que la posologie doit être établie par un herboriste compétent, en fonction de l'origine et de la qualité du produit, et en fonction de la pathologie ; cela n'est pas évident dans notre société de consommation et de profit. Un mauvais dosage pourrait rendre le microbe résistant, et de nos jours la posologie est standardisée.
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Les laboratoires et les gouvernements occidentaux ne donnerons "jamais" d'avis sur des utilisations libres des herbes. Cependant, les laboratoires utilisent parfois les propriétés de ces herbes pour confectionner des médicaments avec une qualité standard précise. Le médicament est testé et évalué, la posologie est fixée par un médecin, le patient est suivi.
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En conclusion, faute d'études sérieuses et contradictoires justes, je ne puis donner un avis sur son efficacité contre le virus actuel. Et vu la puissance de l'industrie pharmaceutique qui fait barrage à l'utilisation ancestrale de ces plantes, et donc à des études scientifiques, j'ai décidé d'en prendre en suivant mon intuition formatée par la véritable nature, dont celle des forêts tropicales que j'ai connu à mon enfance.