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JULES VERNE et RENNES LE CHÂTEAU

CLOVIS DARDENTOR

 

LIVRE COMPLET CLOVIS DARDENTOR

LA JANGADA

LIVRE COMPLET LA JANGADA

Sur le même sujet :

Référence FB Alexandra Schreyer (19/01/2020)

JULES VERNE et RENNES LE CHÂTEAU :
" LA JANGADA " : " UN VIEUX PAPIER TOUT JAUNI...
Le roman de Jules Verne, " La Jangada ", commence par la découverte d'un manuscrit a priori indéchiffrable, mais dont la lecture en clair va pourtant conditionner toute la suite de l'aventure, y compris le sort des héros. L'action est censée se passer au Brésil, sur le fleuve Amazone. Mais c'est une fine supercherie de la part de l'écrivain, il faut savoir qu'autrefois ce fleuve s'appelait, le fleuve Salomon... Tout un programme, bien propice à nous entraîner vers le Trésor du Temple de Jérusalem, d'autant plus que le récit met en scène un certain Joam Garral, autrement dit, une version du Graal. Cet homme va accomplir un périple sur le fleuve en compagnie de sa famille et d'une domestique, Lina, qui va suivre tout le long du récit le parcours d'une liane, autant dire, d'une méridienne. L'auteur va nous décrire des paysages et des personnages qui évoquent une ambiance familière, celle des environs de Rennes Le Château. Un personnage, dont la description correspond à celle du célèbre abbé Saunière, va donc découvrir un parchemin qui comptait une centaine de lignes qui n'étaient même pas divisés par mots. " Il semblait avoir été écrit depuis bien des années et, sur la feuille d'épais papier que couvraient ces hiéroglyphes, le temps avait déjà mis sa patine jaunâtre ". Mais pour décoder ce manuscrit, il fallait le mot-clé. Et le découvreur va se torturer la cervelle avant de le trouver. N'en doutons pas, Jules Verne, fin connaisseur de l'affaire de Rennes a dû cacher cette clé dans son oeuvre... Or, ce découvreur est décrit par l'auteur comme " un capitaine des bois qui recherchait des nègres "... Voilà un signe de piste pour ceux qui scrutent de près les cartes des environs de Rennes Le Château. Comme rien n'est fortuit chez l'auteur, il nous donne un autre indice, l'histoire commence en 1852, or, c'est la date de naissance de l'abbé Saunière. Voici donc le contenu essentiel de ce message qui sera finalement décrypté : " Une centaine de lignes qui ont pour quelqu'un je je sais une importance dont il ne peut se douter ! Ce quelqu'un est riche ! C'est une question de vie ou de mort pour lui, et cela se paie cher ! J'ai là toute une fortune à réaliser ou je ne suis que le dernier des idiots !" Cette simple phrase, perdue au milieu du texte, expliquerait-elle la provenance de la fortune de l'abbé ? Se serait-il fait grassement payer pour taire le secret ? Une énigme historique, une généalogie ignorée ? L'abbé aurait-il décidé d'opérer un chantage sur une famille ? Possible, d'autant plus que Jules Verne ajoute : " Elle a son prix cette phrase ! Elle donne leurs vrais noms aux vrais personnages !

"Examinons de plus près quelques renseignements ou clins d'oeil volontaires pris au hasard du texte. Celui qui a trouvé le parchemin est un - capitaine - des bois -, quant à Joam Garral, il possède une ferme. Cette indication peut mettre le lecteur sur la piste de "la ferme des Capitaines" située non loin du célèbre Bugarach. Cette montagne que nous retrouvons dans une autre oeuvre de Jules Verne, "Clovis Dardentor". Joam Garral est décrit comme un homme qui a perdu ses racines à un moment de son histoire et dont la seule référence est une - vieille négresse d'une soixantaine d'années ... Le lecteur avisé ne peut alors s'empêcher de songer à - Marie de Nègre d'Ables - disparue à 67 ans, l'un des pivot de l'affaire de Rennes. Cette femme se nomme, Cybèle, la pierre noire. Les héros de l'aventure vont construire un radeau flottant, "La Jangada" en fait un village entier, qui comporte une "chapelle richement ornée".

Comment ne pas penser à l'église de Rennes le Château et à sa décoration particulière ? Détail important, c'est sur ce radeau qu'aboutit la - liane - suivie par Lina. Apparaît également un " astronome", sans doute le même que dans "Clovis Dardentor". Or, cet homme ne se sépare jamais de son "Nègre" et sa route est semée de tombes...

Le fin mot de l'histoire ne pourra émerger que du manuscrit enfin décrypté : " Si le ciel a guidé notre main pour trouver le manuscrit, il ne se refusera pas à guider notre esprit pour le lire ! Nous trouverons la clé ! " Et, détail supplémentaire qui a toute son importance, "Ce chiffre a été conçu par la Milice"...

(Petit extrait de A.S : " Jules Verne et Arsène Lupin : A la Recherche des écrits perdus " / tdr)

LE PARCHEMIN
LES NOMS

TORRES : TOUR ?

GARRAL : GRAAL ?

BENITO : BENITIER ?

DES MOTS

PAR LE DIABLE ! page 26

CAPITAINE + LA FERME DE MON PERE page 28 

HOSPITALIEREMENT (ordre de St-Jean ?) page 29

DIX-SEPTIEME ANNEE (17 ajnvier ?) page 31

1852 (Bérenger Saunière 1852-1917) page 42

5 JUIN (Les premières modifications impliquant la restauration du sol de l'église sont mentionnées dans un document daté du 5 juin 1887) page 119

 

" UN SEUL HOMME SAIT OU EST CACHE LE TRESOR... "

VICTOR HUGO,

qualifié par Jules Verne de " maître " est soupçonné d'en savoir bien plus long qu'il n'en a dit, en tout cas de façon claire... alors, que penser de ce texte ?

" Dans ce siècle où tout peuple a son chef qui le broie,
  Parmi les rois vautours et les princes de proie,
  Certes, on n'en trouverait pas un qui méprisât
  Final, donjon splendide et riche marquisat ;
  Tous les ans, les alleux, les rentes, les sensives,
  Surchargent vingt mulets de sacoches massives,
  La grande tour surveille au milieu du ciel bleu,
  Le sud, le nord, l'ouest, l'est et saint Matthieu,
  saint Marc, saint Luc, saint Jean, les quatre évangélistes,
  Sont sculptés et dorés sur les quatre balistes ;
  La montagne a pour garde, en outre, deux châteaux,
  Soldats de pierre ayant du fer sous leur manteau.
  Le trésor, quand du coffre on détache les boucles,
  Semble à qui l'entrevoit un rêve d'escarboucle ;
  Le trésor est muré dans un caveau discret
  Dont le marquis régnant garde seul le secret,
  Et qui fut autrefois le puits d'une sachette ; 
  Fabrice maintenant connait seul la cachette ;
  Le fils de Witikind vieilli dans les combats,
  Othon, scella jadis dans les chambres d'en bas
  Vingt caissons dont le fer verrouille les façades,
  Et qu'Anselme, plus tard, fit remplir de cruzades
  Pour que, dans l'avenir, jamais on n'en manquât ;
  Le casque des marquis est en or de ducat ;
  On a sculpté deux rois persans, Narse et Tigrane, 
  Dans la visière aux trous grillés de filigrane,
  Et sur le haut cimier, taillé d'un seul onyx,
  Un brasier de rubis brûle l'oiseau Phénix ;
  Et le seul diamant du sceptre pèse une once. "

VICTOR HUGO : " LA LEGENDE DES SIECLES "
(illustration : LES ROIS MAGES - Benozzo Gozoli - Florence)

Peut être une image de chameau

Références : Facebook Alexandra Schreyer

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